Vote électronique : modernité et risques ?


Lors des élections présidentielles en France les 22 avril et 6 mai, plus de 3 % du corps électoral (1,5 million d’électeurs inscrits) sur 82 communes soit 1 600 bureaux l’expérimenteront. Il reste un vote physique, les électeurs se déplaçant. Trois modèles de machines ont été retenus : NEDAP, iVotronic d'ES& et INDRA.

Les avantages avancés par les partisans du vote électronique :
Les inconvénients exposés par les détracteurs :
À vous de juger, sachant que nul système n’est parfait et que la sécurité à 100 % n'existe pas y compris pour le vote classique. L’exemple du décompte des votes électroniques en Floride en 2000 lors de l’élection de Georges W. Bush reste présent. Aussi une impression des bulletins en cas de doute pour tout décompte manuel éventuel est évoquée.

Par ailleurs, le Conseil Constitutionnel a estimé le 31 mars 2007 que « l'utilisation des machines à voter pour les élections, notamment présidentielles, est autorisée par le législateur depuis 1969 » et que « ce recours aux machines à voter dans les conditions fixées par l'article L. 57-1 du code électoral a été déclaré conforme à la Constitution ».

df-) 18 avril 2007


Revenir à la chronique NTIC.

frise NTIC
© 2007 David Fayon   -   À propos   -   Contact   -   Boîte aux lettresNous écrire   -   Ajouter aux favoris   -   RSS Flux RSS